Attend! Je ne peut pas accepter ceci! Je ne suis pas digne!!!
(dans las boîte: Contrats Pétroliers)
Si, Tu es dignes! Tu le mérites!
Attend! Je ne peut pas accepter ceci! Je ne suis pas digne!!!
(dans las boîte: Contrats Pétroliers)
Si, Tu es dignes! Tu le mérites!
L'Amérique du Sud a un grand problème avec les drogues
Comme tout année, 10 mai il est attendu par la corporation journalistique pour porter un toast à un métier qui a autant de satisfactions comme sacrifices, mais aussi pour réfléchir - mieux si avec une dose nécessaire d'autocritique - à ce travail.
Nous n'allons pas débatre la qualité du journalisme, mais son énorme importance, dans un moment, dans lequel dans le monde l'information est si vitale comme l'oxygène. Le seul fait de savoir ce que qui arrive dans un autre point de la planète à une "proximité supersonique" dans le reste du globe transforme l'exercice du journalisme en une colonne vertébrale de l'humanité.
Cependant, loin d'encourager un plus grand compromis avec le sérieux et avec la sagesse, cette constance a provoqué dans plus de cas que les acceptables: le journalisme passe par les sentiers du sensationnalisme avant une analyse responsable. Cela, qui est vu dans beaucoup de pays, est d'une façon surprenante et fréquente chez des cas comme le bolivien, où sensiblement les légers maniements, jaunâtres de l'information et la violation à la vérité et aux droits des autres sont constants.
C'est surtout dans l'audiovisuel - et il faut le dire ouvertement - où on a surpassé avec une plus grande évidence le rôle du communicateur et le journaliste compromis avec l'intérêt social, avec le rôle de serviteur public qui devrait l'inspirer, par celui du militant intransigeant de différentes causes, chacune plus éloignée de l'apport sensé. Ainsi le journalisme et les journalistes jouent avec la crédibilité et parient au scandale et à la figuration personnelle prioritariamente. Pourvu que des jours comme celui-ci servaient au changement.
Loi du Gas
Bonjour à tous et à toutes, ou plutôt à toutes et à tous... enfin l'intention y est.
Je voulais juste vous dire que je suis de retour, et que je reprends une activité "normale", bien sur si l'ordinateur et les connexions sur internet le permettent... Cette fois ci c'était pas un bug, mais une panne de je ne sais pas quoi...
On donne des vacances à un ordinateur et ensuite il ne veut plus retravailler.
Je suis allée donc à Budapest. J'ai une cousine là bas... et donc je suis allée contempler le bon caractère des hongrois toujours souriants... et prendre des leçons des hongroises toujours provocantes.... En gros je suis allée dans un pays où la bonne humeur, le sourire, l'amabilité s'y trouve...
Dans l'organisation ça ressemble "un peu" à la Bolivie, alors pour vous dépayser, allez y!
En Bolivie! car la Hongrie, je ne sais pas, mais ils ont comme un batôn dans le postérieur. Ils se tiennent droit et on dirait même qu'ils n'aiment pas notre présence, comme si on ne payait pas assez... Enfin, j'espere que tous ne sont pas comme ça...
Si un hongrois ou hongroise pouvait m'expliquer pourquoi ils vont tous à un enterrement comme s'ils allaient au boulot... J'espere que c'est sans rencune...
A demain, si l'ordinateur le veut, et la connexion le permet!
PS: Il faut que je vous dise que la ville de Budapest et ses allentours sont magnifiques!!!!!
Bon Appétit! Délicieuses Pommes de terre chaudes seulement pour vous!
Quand le chat est dehors...
Quand nous serons grands on va bien s'occuper de vous, pas comme nos parents.
Dans la brouette: 76 contrats... Risque partagé...
Statut civile de la ville de Santa Cruz.
"Oui à l'autonomie avec prefet élu, Non à l'autonomie avec des civiles élus."