Je suis en pleine réfléxion, je vous explique pourquoi... Je suis entrain d'étudier le meilleur moment et la meilleure rentabilité pour aller en Bolivie, ce que la plupart d'entre vous ne sait pas, c'est que mes parents sont toujours là bas... alors c'est un besoin quelque peu vital de vouloir y mettre les pieds pour les voir, revoir les miens, mes montagnes, mon "manque d'oxygène", mon air " semi pur et semi contaminé" par la pollution de toute capitale.
Enfin, je voudrais revoir encore une fois la porte de ma maison, enfin, de celle où j'ai grandit, où je me suis refugiée à chaque fois où après un long voyage, je devais reprendre des forces...
Mais le plus important, voir à travers les personnes que je croise dans la rue, leur sympathie, leur état d'esprit, leur amitié, leur acceuil. Car malgrè ce qu'on peut y dire les boliviens sont très acceuillants, doux, certes un peu passifs, mais des gens simples qui veulent paraître complexes, car la rivalité des sociétés le leur demande...
Mais dans le fond, même si chez eux c'est la merde, et qu'ils ont soif de changements et de révoltes ou révolutions, ce n'est pas après les touristes ( ceux qui remplissent un peu leurs poches et ne leurs volent pas), mais plutôt après leurs dirigeants qui sont dans des positions de luxe tous les jours et qui se moquent de la survie de leurs concitoyens "employés".
Mais je voudrais voir tout ça, sentir la tension même si elle n'y est pas... Car on décrit la Bolivie comme un pays dangereux qui n'a jamais réussi à faire de mal à une mouche. Même si cet insect armé s'est ataqué à plusieurs personnes.
Ils ne sont pas encore capable de s'attaquer aux dictateurs, aux policiers et aux dirigeants, ils ne font pas semblant. Ils doivent avant tout sollutionner leurs problèmes internes, et puis, réfléchir sur les méthodes de survies pour leur famille.... Alors la révolution... ça sera dans les rêves.
Voilà, c'est tout une question de survie pour eux, pour leur famille, et pour moi.