17 décembre 2005
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La Bolivie élie son Président demain:
Entre deux dominantes: La Bolivie est assise, le cul sur deux chaises. C'est le cas de le dire!
D'un côté les corrompus, et de l'autre les non-corrompus, avec possibilité ou pas de le devenir à l'avenir, alors on n'est pas très sûr de vouloir voter pour le "propre", car nous n'avons pas la certitude qu'il le restera.
Casse-tête qui ne sera éclairé qu'une fois après les élections, en fonction de ce qui sera dit et de ce qui sera fait... de ce qui se verra, et de ce qui sera caché, mais à la longue tout fini par se savoir.
Malheureusement, la population "bolivienne" qui se trouve à l'étranger, ne pourra pas voter... et donner son point de vue.
Alors, Vous qui êtes sur place, ne vous abstenez pas, c'est important, l'Avenir de TOUS est entre vos mains!
Alors voter pour Nous qui sommes à l'étranger, et sommes sans voix.
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3 décembre 2005
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Depuis le temps que j'attendais une occasion pareille!
Je vous conseille de regarder l'émission sur Arte à 22h30 Lundi 5 Décembre.
Le titre de cette diffusion d'informations est: "Un Président sous influence."
Sa parle : "Sur fond de grave crise économique et sociale, une année au coeur de la campagne électorale du président bolivien sortant, Gonzalo Sanchez de Lozada, dit Goni."
Pour ceux qui ne l'aurons pas vu, j'en ferai un résumé. Et j'ouvrirai un débat, pour ceux que ça interresse, de façon à voir et connaitre votre point de vue, et de vous exposer, peut être, les points obscurs cachés par le côté délicat des nouvelles éléctions politiques qui vont se dérouler courant ce mois - ci.
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30 octobre 2005
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La Bolivie a droit à une démocratie meilleure!
C'est l'heure où tous les politiques qui sont de sortie donnent quelques bonnes nouvelles... Mais qu'ils ne continuent pas à enfoncer le pays car eux mêmes n'ont plus d'espoir... La Bolivie mérite un démocratie meilleure. Le Pays a besoin d'une bouffée de rationalité.
Les ambitions personnelles, les brouilles régionales, l'irrationabilité des dirigeants qui ne veulent pas accepter les lois actuelles et la Constitution, tout au milieu d'un temps de profonds changements dans le pays, ont mené la démocratie bolivienne, une fois de plus, au bord du néant.
L'incapacité des dirigeants de discerner et découvrir que les exigences, les aveuglements volontaires et les échéances fatales n'ont pas leur place quand l'Etat national est en train de survivre avec des formules de gouvernements transitoires, a dépassé toutes les limites et manie les piliers du pays.
Les députés sont chargés de représenter le peuple et si le peuple a changé de bord, il a toujours le droit d'être représenté et cela depuis 1825 par un Parlement élu par son peuple. Les députés jouent avec du feu s'ils ont décidé de ne pas tenir compte de ce Peuple. Ils ont voulu gardé "le pouvoir" avec quelques gouvernements transitoires, mais le peuple n'est pas dupe.
Alors le boliviens migrent là où ils ont la liberté d'expression, où ils peuvent vivre la démocratie.
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29 octobre 2005
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Le Parlement de la honte:
Il est urgent de réussir un premier accord national politique-régional qui convienne à la préservation de la démocratie et à l'unité nationale, au dessus de tout.
On demande, dans ce sens, une fois de plus, à l'église Catholique qu'elle intervienne dans le processus de conciliation.
l'article en entier en espagnol:
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28 octobre 2005
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La court annule la date du 4 décembre pour les éléctions. Tout avait été programmé pour le 4 décembre 2005. Tout ceci parce que les députés n'arrivent pas à se mettre d'accord avec la ré assignation des bureaux de vote parlementaires. Le gouvernement continuera à faire des efforts pour que les boliviens assistent aux urnes en Décembre. Une proposition gagne soutien.
Voici donc un autre article qui résume la situation actuelle en Bolivie:
http://www.la-razon.com/versiones/20051029_005344/nota_244_216337.htm
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16 octobre 2005
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Ce matin en lisant la presse bolivienne, je constate une nouvelle photo qui attire mon attention, car il s'agit du président bolivien accompagné du président chilien, et mon premier réflexe, excusez moi, mais c'est de penser à: la mer, un accès à l'eau mais alors que je lis le contenu de l'article, je découvre petit à petit qu'il ne s'agit pas de la même eau, celle est non salée...
Alors je me penche sur les informations que l'on me donne, un nom, d'une rivière "Silala", bien sur je suis surprise, car je ne le connais pas sous cette forme.
En France comme partout ailleurs nous savons distinguer les rivières, des fleuves et des sources, effectivement, je ne pense pas que le président chilien soit un ignorant de l'appellation, qui voudrait donner plus d'importance, mais plutôt une façon d'abaisser justement cette importance, car on ne va pas en faire un plat d'une rivière, elle implique qu'elle n'est pas importante...
Pourquoi je vous dis tout ça... Car encore une fois les chiliens veulent bien de l'eau non salée pour le nord du Chili, mais ne veulent pas l'échanger avec un peu d'eau salée de leur Océan.
Là il y a une demande officielle qui se fait avec un poignée de main, mais le sujet de l'océan, d'une petite ouverture possible, n'est pas de l'intérêt des chiliens, certes il y a beaucoup de profit à tirer du côté chilien. " Dans des chiffres, la Bolivie exporte des produits par valeur de 40 millions de dollars au voisin et importe 160 millions de dollars par an."
Selon le président chilien, à l'époque de son indépendance, la Bolivie avait 2,2 millions de kilomètres carrés. "Aujourd'hui elle en possède 1,2 millions et le Chili a gardé le moins", parce que l'Argentine, le Brésil et le Paraguay ont aussi occupé une partie de ce territoire.
Moi, ce que je retiens de tout cette prestidigitation exemplaire, c'est que l'envie de voir la corruption, le mensonge, la jalousie, le vol, la dictature disparaître, ne sont, et ne seront jamais que des illusions de magiciens représentants de l'état à cause de nous mêmes!
Nous devrions dire stop à tout ça, de façon intelligente et prendre exemples de nous tous. Car autant un pays dit "développé" se confronte de même manière qu'un autre pays dit "non développé". ça pourrait arriver à tout le monde!
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9 septembre 2005
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Vous êtes, sans doute, sans savoir que le remue ménage qui s'est produit cette année en Bolivie, va coûter encore plus cher au peuple qu'à l'Etat.
Nous n'avons pas eu un référendum négatif, mais plutôt avec une colère du peuple qui a poussé l'ancien Président Carlos Mesa à prendre la porte.
Pourtant il semblait un des moins corrompus des siècles historiques en politique et coup d'états de toute l'histoire de la Bolivie.
Je pense que ça va causer encore des dégâts, je ne sais pas comment ils s'y prendront, mais aux dernières nouvelles le "Président intérimaire" avait déclaré que vu l'avancement de la date des élections il serait impossible (à cause du coût que cela représenterai) de faire voter tous les résidents boliviens qui se trouvent à l'étranger.
En effet, il n'a pas tort, mais nous sommes tous citoyens et avons le droit de nous exprimer par le vote en qualité de "citoyens".
Car de toute façon une fois "au pays", si nous n'avons pas eu le choix et l'opportunité de faire connaître notre pensée politique, si nous n'avons pas pu voter, (non pas par choix mais par contrainte) et si nous restons muets devant l'adversaire politique.
Comment ferons-nous?
Serions-nous prêts à nous laisser bercer par le choix d'autrui, ce choix qui ne pourrait être justifié parce qu'on n'a pas exprimé notre façon de penser car nous "sommes tous différents" et ne sommes pas tous corrompus?
Je pense que ce n'est pas une chose à laisser passer et prendre à la légère... Le vote de "citoyen" nous appartient et nous devons lutter pour le conserver.
Alors il faut voter!
Mais, nous laisseront-ils le faire?
En France, il est vrai que le problème ne se pose même pas, puisque les moyens économiques sont là... Alors il faut accomplir cette tâche de "citoyen" qu'on vous offre entre les mains.
Seule la mémoire doit rester vigilante, car nous avons tendance à nous laisser aller dans l'amnésie, notre perte de mémoire s'accentue quand on prononce le mot "magique": VOTEZ!
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2 septembre 2005
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Je suis tombée sur cet article dont on a pas parlé nulle part... J'ai recherché les informations partout mais en France on ignore que deux touristes français, membres de l'armée française, ont été séquestrés depuis lundi dernier.
voici le lien : http://www.la-razon.com/versiones/20050902_005287/nota_256_199120.htm
Résumons:
Deux touristes français se baladaient à Sucre, ils ont été abordés, lundi dernier par une bande de criminels. Ils ont été fait prisonniers dans un refuge éloigné de la ville.
Selon la police ils devaient être trois, pendant que les deux ravisseurs allaient récupérer la rançon, le troisième faisait le guet des prisonniers.
Les ravisseurs ont été démasqués car ils sont allés récupérer la rançon de $us 5.000.
Le troisième en s'apercevant que les deux autres tardaient à revenir, s'est enfuis, permettant aux deux français de se libérer et s'enfuir à leur tour pour rejoindre la route.
Les ravisseurs ont commis une faute, ils ont demandé la rançon par virement bancaire destiné au nom de Monsieur Perez. C'est au moment du retrait de la somme de $us 5.000, que la police les a coincés.
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15 juillet 2005
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Sabina Blanco la Cholita de la ville de La Paz:
Sabina Blanco Quispe, de Jampaturi, a été couronnée hier soir comme "la Cholita Paceña 2005", entre 17 candidates. Elle accompagnera les autorités durant les actes protocolaires prévus pour aujourd'hui et demain pour la fête départamentale.
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14 juillet 2005
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La route La Paz / Oruro:
Route qui paraît neuve. C'est une route qui relie la ville de La Paz avec celle d'Oruro elle a été réabilitée après cinq longues années. Sur cette photo vous pouvez observez le parcours réabilité entre Senkata et Calamarca, avec une extension de 37 km.
Pourquoi c'est un exploit? Car en Bolivie, il n'y a pas beaucoup de route goudronnée correctement, et surtout avec une signalétique aux normes européennes. Il est vrai qu'elle est beaucoup emrpuntée car nous pouvons nous rendre à Ouro, la ville qui est célèbre par son carnaval, et surtout parce qu'on peut prendre le train direction le département de Potosi, pour nous rendre ensuite au salar de sel et ses trésors cachés... Contempler les beaux flamans roses...
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